Conclusion
Les ondes ultrasonores auxquelles nous nous sommes intéressées sont particulièrement représentatives de notre problématique.
En effet, les ondes ultrasonores possèdent des caractéristiques surprenantes leur permettant de détecter des objets à longues distances particulièrement sous l’eau. Utilisées par l’homme, celui-ci les a développées en s’inspirant du monde animal avec les chauves-souris et les dauphins. De cette manière il a mis au point l’ASDIC qui deviendra plus tard le SONAR.
Ainsi, ces ondes sont devenues une préoccupation majeure des engins sous-marins durant la seconde guerre mondiale.
Cependant, comme prouvé avec notre expérience il y a moyen de les arrêter.
En fait, on ne peut pas les stopper complètement mais en absorber une grande partie grâce à des matériaux élastomères réduisant la portée de détection des SONAR.
Ces élastomères ont la capacité de devenir de vraies couvertures de revêtement comme avec les tuiles anéchoïques.
Cependant, comme il est impossible de recouvrir entièrement un sous-marin de tuiles anéchoïques, la furtivité n'est que partielle. Elle est toutefois suffisante pour compliquer considérablement les éventuelles tentatives de detection.
De cette manière, l’utilisation de moyens de détections des ondes mécaniques ont rendu nécessaire l’utilisation de matériaux de revêtement furtif.
Problématique : comment l’utilisation des moyens de détection des ondes mécaniques et électromagnétiques a-t-elle rendu nécessaire la fabrication de matériaux de revêtements furtifs?